"Bachar, je suis en vie !... A l'aide ! A l'aide !... Je suis en vie !...", hurle la jeune Youmna, sous le choc, après les bombardements de l'armée sur des civils dans les faubourgs de Damas.
Le médecin qui l'accompagne explique que son délire est un effet des gaz chimiques auxquels elle aurait été exposé. Une affirmation difficile à confirmer mais le traumatisme de la fillette est bien là.