Le rapport des experts de l’ONU, rendu lundi 16 septembre, confirme qu’une attaque chimique a bien eu lieu en Syrie le 21 août dernier. Des preuves "flagrantes et convaincantes" d’une utilisation à grande échelle, qui désigne à demi-mots le régime de Damas. C’est pourquoi les diplomates américains, britanniques et français, réunis à Paris le jour du rendu du rapport, maintiennent la pression et réitèrent leurs menaces à l’égard de Bachar El-Assad.

Jean-Baptiste Daoulas