"Apprendre que deux journalistes ont été abattus, assassinés, froidement, comme des chiens, c'est terrible", a estimé Christophe Deloire, secrétaire général de Reporters sans frontières (RSF), précisant qu'il fallait que les journalistes puissent travailler partout dans le monde puisqu'"il n'y a rien de pire que les trous noir de l'information". Durée: 01:47