Trois jours après le lancement de l'opération Sangaris, la situation reste tendue dans la capitale centrafricaine, Bangui. Sur le plan sécuritaire, mais aussi sur le plan humanitaire avec déjà 80 000 déplacés intérieurs.
Demain, les opérations de désarmement des milices doivent débuter. L'armée française craint que la situation s'envenime. Les précisions de Florence Lozach, envoyée spéciale à Bangui.