On pourrait croire que les Grands Gagnants du Loto représentent une clientèle idéale pour les banques. Edouard Lederer, journaliste au service "Marchés-Finances" des "Echos", prouve que ce n'est pas toujours le cas, pour trois raisons. On pourrait croire que les Grands Gagnants du Loto représentent une clientèle idéale pour les banques. Edouard Lederer, journaliste au service "Marchés-Finances" des "Echos", prouve que ce n'est pas toujours le cas, pour trois raisons.