"L'extrême gravité des accusations et des soupçons qui pèsent sur l'ancien président de la République est telle que les commentaires maintenant doivent laisser la place à la vérité. Il faut laisser travailler la justice", a expliqué la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem mercredi, répondant à une question de BFMTV.