Enfin!!!!! On reconnait les plus que mérites d'Henri Lhéritier. On aura pas attendu que les japonais le reconnaisse "trésor national" ou que Stéven Spielberg rachète les droits du"Défilé du condottiére" pour en faire une saga sur grand écran. Le Sanhédrin de la littérature locale, le CML reconnait la littérature d' Henri Lhéritier en lui attribuant son prix Méditerranée Roussillon pour son roman "Moi, Diderot (Sophie) " aux éditions Trabucaire.
L'archipel contre attaque s'enorgueillit d'avoir suivi l'homme depuis le début (les nôtres)