La question de la reproductibilité de l’art avec les technologies était déjà posée dès les années 1930 avec notamment les réflexions de Walter Benjamin puis les démarches d’artistes comme Chuck Close, Roy Lichtenstein ou Andy Warhol. Avec le numérique, ces problématiques se sont non seulement amplifiées mais ont également pris un visage multiformes à travers une mise en abîme qui, d’appropriations en détournements, évolue à la vitesse du bit. Simon Dronet nous livre un instantané d’un genre en gestation permanente…