Dans l'hôpital Al-Shifa, plus de 200 blessés affluent par jour vers l'établissement, qui parfois même est une cible de tir. L'hôpital, qui a une capacité d'accueil de 800 personnes et qui en reçoit 1.300, manque cruellement de moyens. Les stocks de médicaments sont si limités que les médecins sont obligés de pratiquer les chirurgies les plus légères sans anesthésie, même sur des enfants.