David Cameron parle pour la première fois de frappes aériennes britanniques sur l’Etat islamique, aux côtés des Américains. Le chef du gouvernement britannique a envisagé cette solution au parlement ce mercredi, il a aussi souhaité que comme Londres et Washington, d’autres pays ne paient pas non plus de rançon.
“Au G8 j’ai lancé une initiative pour essayer de pousser les autres pays à adhérer à une doctrine très claire selon laquelle en cas de kidnapping terroriste aucune rançon ne doit être payée. Nous continuons d’appliquer cette doctrine, l’Amérique aussi, mais nous devons redoubler d’efforts pour que les autres pays tiennent parole”.
Londres examinera “toutes les options disponibles” pour protéger l’otage britannique de l’Etat Islamique, qui a déjà exécuté deux journalistes américains. Ses ravisseurs ont menacé de l’exécuter, et la Grande-Bretagne est rapidement montée en première ligne du front anti-Etat Islamique. Le comité d’urgence du gouvernement a été réuni à Londres.