Très belle chanson au climat intimiste assez proche de celui de "Un homme heureux" C'est un inédit qui fait partie d'une compilation "Tu devrais chanter" parue en 1998 (« Un homme heureux » était aussi un inédit dans un album de reprises de ses plus grands titres accompagné au piano: "Sheller en solitaire" qui a connu le succès que l'on connait)
C'est une de mes chansons préférées du Maestro, une de celles que j'ai le plus de plaisir à interpréter avec encore une nouvelle interprétation ou j'essaye de l'améliorer encore un peu!
Il y a au centre-ville
De l'eau qui coule au bord des rues
Et qu'on balaye au jour levé.
J'irai du pas tranquille
De ceux qui ne sont jamais revenus
Et qui n'ont rien à regretter...
Parce que, tu vois,
Bien sûr, tu ne m'as pas dit de te suivre
Et là, j'suis d'accord.
Y a tellement de choses à voir dans ton sourire quand tu dors.
J'ai le souvenir d'un grand bateau blanc sur la mer de ton corps
Mais je n'pense pas
Qu'j'étais fait pour vivre
A son bord.
Il y a, vers la presqu-île,
Des barques qui s'en vont, le soir,
Vers où nous ne serons jamais allés.
Les adieux difficiles
De ceux qu'on ne va jamais revoir
Laissent tant de choses à oublier...
Parce que, tu vois,
Bien sûr, tu ne m'as pas dit de te suivre
Et là, j'suis d'accord.
Y a tellement de choses à voir dans ton sourire quand tu dors.
J'ai le souvenir d'un grand bateau blanc sur la mer de ton corps
Mais je n'pense pas
Qu'j'étais fait pour vivre
A son bord...
A son bord...