En septembre dernier, une quinzaine de personnes avait été jugée pour avoir ouvert une page Facebook signalant la position des radars et contrôles de police. Le tribunal correctionnel doit rendre son jugement ce mercredi. Ces Aveyronnais devraient écoper de deux semaines à quatre mois de suspension de permis. Ce procès est inédit car il s'agit du premier en France concernant l'avertissement de radars sur Internet.