Michèle Alliot-Marie, ancienne ministre des Affaires étrangères a réagi à la libération, ce mercredi, de Serge Lazarevic qui avait été enlevé par Aqmi en 2011. "Tout n'est pas bon" pour faire libérer les otages, a estimé la députée européenne. "Il ne faut pas oublier qu’à chaque fois qu’on apporte quelque chose aux ravisseurs cela les conforte et leur permet d’augmenter leurs moyens. C’est bien la raison pour laquelle le gouvernement français refuse toujours de négocier directement ou de donner directement de l’argent aux ravisseurs mais cela passe par un certain nombre d’intermédiaires, et là, en particulier par les président du Mali et du Niger", a-t-elle ajouté.