La philosophie de DiogÚne en musique. Une reprise des Dobbies Brothers (Long Train runnin) en français. Une magnifique voix féminine pour cette performance qui présente une maniÚre de vivre bien particuliÚre. Tout n'est pas de bon ton, mais cela pousse à la réflexion. Une provocante liberté de parole. Double sens et ironie.
music : The Doobie Brothers - Long Train Runnin
vocal : Angie CC https://www.youtube.com/angiecc69
lyric : Philonico
montage vidéo : Philonico https://www.youtube.com/philonico
La philosophie cynique propose une maniĂšre de vivre qui s'oppose Ă celle des non-philosophes mais aussi Ă celles des philosophes. CHANSON LIBERTAIRE
Conversation entre DiogĂšne et Alexandre le Grand
« â Demande-moi ce que tu veux, je te le donnerai. (Alexandre)
â Ăte-toi de mon Soleil. (DiogĂšne)
â N'as-tu pas peur de moi ?
â Qu'es-tu donc ? Un bien ou un mal ?
â Un bien.
â Qui donc pourrait craindre le bien ? »
Le mĂȘme Alexandre aurait avouĂ© un jour : « Si je n'Ă©tais Alexandre, je voudrais ĂȘtre DiogĂšne. »
Une provocante liberté de parole.
(« ÎÎčÎșÏ᜞Μ áŒÏ᜞ ÏοῊ áŒĄÎ»ÎŻÎżÏ
ΌΔÏÎŹÏÏηΞÎč. » â « MikrĂČn apĂČ toĂ» hĂȘliou metĂĄstĂȘthi. » â littĂ©ralement : « Tiens-toi un peu Ă l'Ă©cart de mon Soleil. »)
Je vis comme je respire
Pousse toi de mon soleil, lâombre me rend fou
Ne me prends pas la tĂȘte, tes histoires je mâen fous
Car je vis comme je respire
Et Tant mieux si ça empire
Au marché des tabous, Je traine ma carcasse
Jâemmerde le monde et je lâavoue, la bĂȘtise je la chasse
Car je vis comme je respire
Et tant mieux si cela empire
Sans avenir et sans passĂ©, dans le prĂ©sent jâavance
Chaque instant peut tout me donner, le paradis je mâen balance
Car je vis comme je respire, ça mâattire
Et tant mieux si cela mon empire
Laisse-moi vivre sans complexe câest tout ce que je te demande
Mis Ă part lâhumour et le sexe, tout le reste je mâen branle
Car je vis oui comme je respire
Et tant mieux si ça empire
Jâadore quand tout sâinverse, Plus de repĂšres tout sâĂ©chappe
Ma vertu suffit Ă mon bonheur, tes principes je mâen tape
Car je vis, oui comme je respire
Et tant mieux câest mon empire