Jean-Robert Lopez, délégué interministériel sécurité routière, a réagi sur BFMTV jeudi à la hausse de 6,7% de la mortalité sur les routes en février. "Ces chiffres montrent tout l'intérêt d'avoir engagé dès la fin du mois de janvier un plan qui avait été présenté par le ministre de l'Intérieur". Selon lui, la question est de savoir si aujourd'hui un certain nombre de comportement des automobilistes peuvent être rectifiés. "C'est le cas d'un certain nombre de mesures qui ont été prises notamment en matière de téléphone portable et d'alcoolémie", estime-t-il.