Les négociations entre la Grèce et ses créanciers prennent beaucoup trop de temps et plombent l‘économie grecque reconnait jeudi Yanis Varoufakis. Ainsi les rendements des obligations à trois ans se rapproche de nouveau de 24%. Mais c’est le seul moyen d’atteindre le résultat souhaité assure le ministre grec des Finances c’est-à-dire en finir avec l’austérité : “Il ne fait aucun doute que les négociations en cours ont les éléments nécessaires pour être vagues et créent de l’insécurité sur les marchés, cela crée des problèmes de liquidités, et par conséquent l’impact est négatif. Mais nous négocions en ce moment pour l’avenir de la Grèce, tout comme certains ont négocié ou plutôt n’ont pas négocié en 2010 et 2012.”
La Grèce prévient qu’elle sera à court de trésorerie dans une semaine. Pour autant, Athènes assure qu’elle honorera ses obligations envers le Fonds Monétaire International, un prêt de 430 millions d’euros est à rembourser le 9 avril prochain.
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