Dans le camp de réfugiés qui jouxte le camp de base de l'armée française dans la capitale de Centrafrique, les habitants racontent comment des jeunes filles de 12 à 16 ans, ou des garçons, étaient emmenés à l'écart par des militaires français pour y subir des relations sexuelles. Quatorze soldats ont été mis en cause, très peu ont été identifiés.