De nombreuses questions et critiques se sont élevées mardi à l'Assemblé nationale contre la réforme du collège et les modifications dans l'enseignement des langues. La ministre de l'Education a suscité la colère dans les rangs de la droite quand elle a lancé à un député UMP: "nul ne peut se revaloir de sa propre turpitude" avant de rappeler que Nicolas Sarkozy "vouait aux gémonies la princesse de Clèves considérant que c'était une œuvre trop intellectuelle pour les classes populaires".