L’OTAN et l’Union européenne vont travailler ensemble pour contrer les tactiques de “guerre hybride“.
Confrontées à la menace jihadiste et à une Russie, jugée péremptoire et plus agressive depuis la crise ukrainienne et l’annexion de la Crimée, l’Alliance atlantique doit s’adapter.
Cyber-attaques, guerre de l’information et emploi de milices irrégulières, autant de nouvelles menaces qui nécessitent une évolution, comme l’a expliqué Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’OTAN :
“Dans cet environnement sécuritaire plus dangereux, l’OTAN continuera de protéger et de défendre chaque allié contre toute menace. C’est pourquoi nous nous adaptons à un nouvel environnement en mettant en oeuvre le plus grand renforcement de notre défense collective depuis la fin de la guerre froide.”
L’OTAN a donc confirmé le renforcement de sa présence à l’Est, l’augmentation de la taille et de la vitesse de sa force de frappe.
Les chefs de la diplomatie de l’Alliance se sont réunis deux jou