En matière de droits de l’homme, l’Egypte ne fait pas figure de bon élève et a de nombreux progrès à faire. C’est la conclusion publiée ce dimanche par le Conseil National des Droits de l’Homme au Caire. L’organisme estime que le pays doit notament limiter le condamnations à mort aux crimes très graves.
Une référence à peine masquée aux condamnations à mort prononcées contre l’ex-président Mohhamed Morsi et contre des centaines de Frères musulmans. Une posture très critiqués par l’ONU.
Le rapport analyse la période allant de juin 2013 à fin 2014, soit la chute de Mohammed Morsi et la prise de pouvoir par Abdel Fatah al-Sissi.
“La première violation c’est de violer le droit à la vie commise par des terroristes, comme les Frères Musulmans et leurs alliés et tout ce qui concerne les emprisonnements hors la loi: C’est aussi la prison préventive qui dépasse les délais réglementaires et devient en elle- même condamnation mais aussi toutes les violations qui se passent à l’intérieur d