La droite et le Front de gauche dénoncent un déni de démocratie. Le Premier ministre Manuel Valls a engagé la responsabilité du gouvernement pour faire passer en force le projet de loi Macron en deuxième lecture à l’Assemblée nationale. Les frondeurs socialistes dénoncent l’utilisation du 49-3. Une motion de censure a été déposée par l’opposition.