La victoire du "non" au référendum grec a ravi certains : rassemblement de la gauche autour de Jean-Luc Mélenchon à Paris, satisfaction du leader espagnol de Podemos Pablo Iglesia sur Twitter, mais aussi de l'extrême-droite européenne. De l'autre côté, le ministre de l'Economie allemand estime que désormais des nouvelles négociations sont "difficilement imaginables", tandis que le président du Parlement européen Martin Schulz pense que des "temps très difficiles et même dramatiques" sont à prévoir si la Grèce ne fait pas de "propositions constructives pour renégocier". François Hollande et Angela Merkel sont plus nuancés en appelant à respecter le vote du peuple grec.