Quand le petit parti radical a remporté les élections législatives en janvier dernier, les Grecs ont cru que le "miracle Syriza" était possible : celui d une gauche anticapitaliste capable de faire repartir la croissance tout en échappant à l austérité.
Six mois plus tard les espoirs s'effondrent, chez les militants et au sein du parti qui pourrait ne pas se relever de ce nouveau plan de rigueur en passe d'être voté au Parlement grec.