“Je pense comme vous, Madame, que la mollesse du lit, lorsqu’on y joint l’habitude de la lecture, peut devenir extrêmement funeste. Car l’imagination est alors plus surexcitable, la sensibilité plus impressionnable. Et de là, palpitations, dégoût, perte de l’appétit. Le système nerveux se trouble… c’est la veille qui se change en rêve, le rêve en veille !”
►►► RELIRE Gustave Flaubert avec Guillaume Gallienne :
http://www.franceinter.fr/emission-ca-peut-pas-faire-de-mal-madame-bovary-lincomprise
Illustration : “Le Printemps” par Claude Monet © Burstein Collection/CORBIS