Interrogé ce lundi sur ses relations avec Aléxis Tsípras au derniers instants des négociations entre le gouvernement grec et ses créanciers, l'ancien ministre des Finances grec refuse de parler de trahison personnelle.
S'il reconnaît un «profond désaccord» avec le Premier ministre grec, l'économiste tient à recontextualiser les conditions qui ont conduit le Premier ministre grec à accepter ce plan d'aide contre l'avis du peuple. Loin de faire preuve de virulence envers son ancien homologue, Yanis Varoufakis explique : «Quand vous êtes dans une situation où vous êtes face à l'arme du bourreau vous n'avez pas le choix».