L'association LGBT tunisienne Shams a tenu une conférence de presse, samedi 3 octobre à Tunis, pour demander au gouvernement de libérer "tous les détenus en prison pour leur homosexualité" et d'abroger l'article 230 du code pénal, qui rend passible de trois ans d’emprisonnement la sodomie et le lesbianisme. Durée: 01:21