Le Premier ministre a reproché mardi à l'ancien président Nicolas Sarkozy d'avoir eu recours au mot «chienlit» pour évoquer les troubles de lundi à Air France, qualifiant ce terme de «mot dangereux».
«La chienlit, [...] la remise en cause permanente des corps intermédiaires, des syndicats, de l'indépendance de la justice, de ce qui fonde même la démocratie, ce mot chienlit, l'expression qui a été aussi la vôtre, comme celle de Nicolas Sarkozy, sont des mots dangereux», a lancé Manuel Valls en réponse à une interpellation du député Les Républicains Alain Chrétien.