Deux des cinq salariés d'Air France poursuivis pour violences suites aux incidents du 4 octobre ont répondu sous couvert d'anonymat à des questions de l'Agence France Presse. "Ils ont fouillé chez moi, j'avais l'impression d'être un terroriste", explique notamment l'une des personnes poursuivies. Tous se trouvent sous la menace d'une condamnation pénale et d'un licenciement.