La phrase incompréhensible de Nicolas Sarkozy lors d'un meeting fait le buzz. C'est le zapping tv actu.

Lors d’un meeting à Limoges pour les élections régionales, Nicolas Sarkozy a souhaité s’adresser aux électeurs qui seraient tentés de voter pour le Front national. Il s’est alors lancé dans une grande déclaration dont personne, semble-t-il, n’a compris le sens. C’est Le Petit Journal de Canal+ qui a repéré et diffusé la séquence. L’ancien président de la République a certainement voulu marquer le coup en se lançant dans une tirade enflammée. Mais Nicolas Sarkozy a beau parler avec beaucoup d’assurance, le sens de ses propos n’en restent pas moins mystérieux. « Je voudrais leur dire qu’on a reçu un coup de pied au derrière mais que c’est pas parce que vous voulez renverser la table que vous descendez de la voiture dont vous vous abstenez de choisir le chauffeur », a-t-il en effet déclaré.

Silvio Berlusconi sur sa carrière politique, c'est à ce titre qu'il dévoile une partie des relations qu'il a entretenues avec certains dirigeants internationaux, à commencer par Nicolas Sarkozy dans un livre qui s'intitule "My Way". C'est même par l'ancien chef de l'Etat que débute le chapitre intitulé "L'intrigue internationale". Après lecture de ces quelques dizaines de pages, le constat est très clair, l'homme Italien insulte plusieurs fois Nicolas Sarkozy.

Le tacle vise clairement le Front national et une partie de la droite française. Le président François Hollande a qualifié de "manipulateurs" et de "falsificateurs" ceux qui en France "prétendent que nous serions envahis" par un afflux de réfugiés. Le chef de l'Etat s'exprimait vendredi 16 octobre à Bruxelles lors d'une conférence de presse à l'issue d'un sommet européen consacré à la crise des migrants.

En visite au Japon, l'exubérant maire conservateur de Londres Boris Johnson a participé ce jeudi à une partie de rugby avec des écoliers, sur un mini-terrain. Le plaquage n'était pas mini, comme on peut le voir sur la vidéode la rencontre. On y voit Boris Johnson courir le ballon dans les mains et... mettre à terre un enfant dans sa course. Fair play, il a immédiatement présenté ses excuses à l'enfant un peu sonné.

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