FIFA : Sepp Blatter sort du silence pour critiquer Michel Platini et Nicolas Sarkozy

France Inter 2015-10-29

Views 207

Sepp Blatter, président suspendu de la FIFA, sort du silence dans un entretien accordé à l'agence de presse russe TASS, pour critiquer Michel Platini... et Nicolas Sarkozy.

Show more

Download

Report form

RELATED VIDEOS

Le 07h43 :

play

Le 07h43 : "La démission de Sepp Blatter, une victoire de Platini ?"

Le 07h43 :

play

Le 07h43 : "La démission de Sepp Blatter, une victoire de Platini ?"

Alexis Trégarot :

play

Alexis Trégarot : "Y forcément matière à critiquer"

Fary :

play

Fary : "Je pense que c'est un danger de critiquer le communautarisme"

Christophe Béchu :

play

Christophe Béchu : "Critiquer les propos du président de la République est un exercice assez classique"

Etienne Klein :

play

Etienne Klein : "C'est plutôt bon signe : si vous publiez un article et que des gens trouvent le moyen de le critiquer, il est retiré"

Xavier Bertrand :

play

Xavier Bertrand : "Boris Johnson a tout misé sur la vaccination (...) : il a voulu un vaccin, et il a eu son vaccin. Si ça n'avait pas fonctionné, on aurait pu le critiquer, mais le rôle d'un responsable politique c'est la prise de risques."

Rokhaya Diallo :

play

Rokhaya Diallo : "Critiquer son pays, c’est être exigeant à son égard"

Fawzia Zouari :

play

Fawzia Zouari : "Est-ce que le fait de critiquer l'islam vaut l'accusation d'islamophobie ?"

Édouard Philippe :

play

Édouard Philippe : "Ceux qui critiquent le nombre de contrats aidés devraient critiquer ceux qui ont décidé, l'an dernier"

Pierre Rosanvallon, historien et sociologue :

play

Pierre Rosanvallon, historien et sociologue : "Au nom de la souveraineté du peuple, Napoléon III a été le premier à critiquer la liberté de la presse et les partis, en disant aux journalistes que personne ne les avait élus."

Gabriel Attal :

play

Gabriel Attal : "Ce débat sur la liberté d'expression a pu donner le sentiment qu'elle se résumerait à la question du blasphème : or c'est aussi le droit de commenter, d'encourager, de critiquer"