S'il considère que la fin de la guerre est proche en Syrie, l'ancien président de la République ne prévoit pas le départ de Bachar al-Assad dans l'immédiat. «L'erreur que commettent certains commentateurs c'est de dire : il faut commencer par faire partir Bachar al-Assad, c'est très imprudent» estime ce mardi sur RTL Valéry Giscard d'Estaing qui s'appuie sur les exemples de Saddam Hussein en Irak et de Mouammar Kadhafi en Libye pour justifier son positionnement.