Angela Merkel semblait sincèrement blessée en apprenant que les États-Unis l'avaient écouté. Était-elle choquée que les Allemands écoutaient la France. Aujourd'hui avec les moyens de télécommunication et d'espionnage, il n'est pas une parole d'un grand dirigeant qui n'échappe aux écoutes. L'édito de Christophe Barbier.