Aux premières loges lors de l’assaut mené par la police ce mercredi matin, cet habitant de Saint-Denis se souviendra encore longtemps de ce réveil très matinal. Il lui a fallu peu de temps pour comprendre ce qui se déroulait devant ses yeux. Comme lui, tous les riverains sont restés cloîtrés chez eux jusqu’en début d’après-midi, évitant toute victime collatérale de cette scène de guerre en pleine ville.