Saïd Mohamed-Abbag a appris "comme tout le monde" mercredi que son fils Foued était le troisième kamikaze du Bataclan. Interrogé sur le pas de sa porte, il explique qu'il avait eu son fils au téléphone pour la dernière fois en août dernier. Il lui avait demandé de rentrer mais son fils avait refusé. "Qu'est-ce que vous vouliez que je fasse?", se lamente-t-il.