Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme qui s'est dirigé vers des policiers dans le 18e arrondissement avant d'être abattu "aurait agi seul". Mais "on ne peut pas exclure qu'il y ait un certain nombre de complicités dans la préparation voire même dans la commission des faits", a prévenu l'Intérieur.
"Il faut être extrêment prudent : ce n'est pas parce que quelqu'un crie Allah Akbar en tentant de s'en prendre à des fonctionnaire de police qu'il était en train de pener une action terroriste au sens pénal du terme", a averti Pierre-Henri Bradet, le porte-parole du ministère de l'Intérieur, rappelant l'exemple récent de Valence.