L'évaluation de l'agence fédérale de contrôle nucléaire (AFCN) qui a permis le redémarrage des centrales nucléaires de Doel 3 et Tihange 2, arrêtées après la découverte de microfissures, est battue en brèche par une contre-expertise réalisée par une sommité internationale spécialisée dans la résistance des matériaux, à la demande des Verts européens et publiée jeudi.