Près de trois semaines après les violences et les agressions sexuelles du Nouvel An devant la gare de Cologne, les inquiétudes sont encore palpables. Beaucoup de jeunes femmes se ruent sur les bombes lacrymogènes pour se protéger. La police locale rappelle que l'usage de ce produit est très encadré et qu'il n'est "pas toujours évident" de prouver une situation de légitime défense.