Il fait froid et les conséquences immédiates sont là. Ceux qui vivent dans la rue sont menacés de mourir de froid. Il n'y a plus de places disponibles pour les accueillir à cause du plan vigipirate et des militaires que l'on doit loger. Le manque de logement social d'urgence est un grave échec, surtout pour la gauche. L'édito de Christophe Barbier.