Si Patrick Artus salue les politiques des banques centrales pendant la dernière crise et "leurs comportements très favorables", il fustige en revanche l’immobilisme de ces institutions qui continuent à appliquer les mêmes politiques. Si Patrick Artus salue les politiques des banques centrales pendant la dernière crise et "leurs comportements très favorables", il fustige en revanche l’immobilisme de ces institutions qui continuent à appliquer les mêmes politiques de création monétaire, sans effets sur l’économie réelle, et sans se soucier des inconvénients.