Public a rencontré notre belle Miss France 2016 : Iris Mittenaere.Après une succession de questions / réponses rapides où Iris nous avait confié que son modèle était Kate Middleton ou encore qu'elle connaissait par coeur les répliques du film "Le Grinch" avec Jim Carrey... Voici maintenant son interview intégrale : Nabilla, Amour, Camille Cerf, Enfants ... Elle nous dit tout ! A propos de Nabilla : "Sur les réseaux sociaux, on m'a envoyé pas mal de messages à ce sujet. Je n'ai pas trop compris parce que je ne vois pas où est la ressemblance avec Nabilla. Mais c'est plutôt amusant, ça m'a fait sourire. C'est une star importante donc c'est flatteur."La chirurgie esthétique : "Pour le moment ça ne me tente pas forcément. Après, je peux comprendre les personnes qui ont un gros complexe et qui ont envie de faire de la chirurgie esthétique, c'est leur droit. Moi, je me sens bien comme je suis même si j'ai aussi des défauts ..." Camille Cerf (Miss France 2015): " Je la trouve belle à l'intérieur comme à l'extérieur ! C'est une personne formidable. Camille c'est mon gros coup de coeur ! J'ai été éblouie par Camille ... Elle est impressionnante, magnifique ! Camille s'est devenue une vraie amie ! " Sur son Instagram Iris écrira même après notre interview à propos de Camille Cerf : "Plus qu'une amie, c'est une troisième soeur ! "Amour :" Je ne pourrai pas être avec mon copain le jour de la St Valentin ... Mais on la fêtera ensemble, plus tard ! On va lui faire passer un petit message : Moi, j'aime bien qu'on me fasse à manger ... Donc  un petit resto romantique et une petite surprise comme m'offrir des roses... Ca pourrait être bien ! "Enfants : "Pour moi les enfants, c'est vraiment très important ! Plus tard, j'ai envie d'avoir une belle famille, dans une belle maison avec des enfants ... C'est aussi pour ça que j'ai choisi d'être dentiste, pour pouvoir aménager mes heures et prendre mes vacances en même temps qu'eux ! J'aimerais bien avoir 3 enfants ! "Toute reproduction interdite sans la mention PublicPropos recueillis par Sandrine Rouxel