Les grossesses tardives ne sont plus un phénomène exceptionnel en France. En quinze ans, le nombre de femmes de plus de 40 ans a presque triplé, passant d'un millier en 2000 à 2.642 en 2014. Selon un médecin de la reproduction, ces bébés tardifs sont motivés par le fait que les mères "aient mis en avant leur projet professionnel ou qu'elles n'aient pas trouvé le bon conjoint durant la période fertile". Avoir un bébé tard augmente cependant les risques d'hypertension artérielle ou de petite taille chez le nouveau-né.