Lors de ses premières auditions, Mohamed Abrini, interpellé vendredi à Anderlecht, en Belgique, assure que lui et ses complices avaient prévu de frapper une nouvelle fois la France et notamment le quartier des affaires de La Défense. Avec ses transports dans lesquels transit un demi-million de personnes chaque jour, ses entreprises internationales et ses commerces, il demeure une cible privilégiée pour les groupes terroristes.