Un mois après les attentats de Bruxelles, des rescapés et des médecins témoignent du traumatisme vécu le 22 mars dernier dans la capitale belge. Chirurgie de guerre, traumatismes psychologiques, le besoin de mettre des mots sur l'horreur apparaît comme essentiel pour ces bruxellois : apprendre du passé, comprendre et tenter de se reconstruire sont au coeur du processus de résilience.