Créé en 2009 par deux polytechniciens, Benoît Charles-Lavauzelle et Fabrice Bernhard, Theodo se positionne avec succès entre le conseil en stratégie et une SSII grâce à une approche disruptive des process de développement de projets numériques. La "startup" aux 100 ingénieurs "hacke" les 12 ou 18 mois habituels pour une finalisation en 2 mois chrono.
Lean startup, Scrum, Devops, cassure des silos, Theodo emprunte toutes les voies agiles pour proposer le développement de produits, en mode task force et en 2 mois, à de grandes entreprises habitués à des modes de gestion de projet qui prennent infiniment plus de temps. Détection des problèmes, fonctionnalités primaires développées en une semaine seulement, retour utilisateurs dès les premiers jours, la méthode mise en place par les deux polytechniciens bouscule à la fois les habitudes des grands comptes et les idées reçues sur la souplesse d'esprit des X.
Theodo, ce sont près de 100 ingénieurs dont une quinzaine dans la filiale ouverte à Londres en 2015 et près de 100 embauches de diplômés des meilleures écoles en 2016. La société a multiplié par 10 son CA depuis 2012 pour atteindre un volume prévu de 13 M€ cette année. Elle croit en donnant naissance à de nouvelles entités comme Bam (Développement mobile, 20 personnes, 2M€ de CA) en mode startup studio. Chacune des jeunes pousses de son écosystème a sa propre autonomie. Les "Theoders" sont incités à créer leur startup sur des métiers connexes au sein d'un incubateur maison, la Theodo Academy.
Les 1000 m2 de locaux de Theodo dans le 17eme arrondissement à Paris racontent l'histoire et les symboles de l'entreprise. Visite et échanges avec Benoît Charles-Lavauzelle, cofondateur de Theodo. @theodo