Soutenant l'opposition à la loi Travail, les Français pourraient faire volte-face si les grèves et blocages en venaient à perturber la tenue de l'Euro. "Les intérêts privés priment l'intérêt général. (...) Il y a les inondations, il y a l'Euro, il y a l'image de la France à l'étranger, on attend plusieurs millions de touristes qui vont apporter des sous, donc de la croissance, donc des emplois: les sondages sont en train de s'inverser. Le gouvernement a lâché. Ils ont lâché sur les routiers, les intermittents, la SNCF, tout le monde à eu son lot et pourtant, ça continue", décryptait mercredi soir Laurent Neumann.