Le 13 novembre, Djamel a reçu quatre balles des terroristes alors qu'il était attablé à La Belle Equipe. Sa jambe droite a dû être amputée et son bras gauche est paralysé. Depuis, il a perdu toute autonomie. Pourtant, l'État lui refuse sa carte d'invalidité et les prestations sociales liées au statut d'handicapé. Huit mois après le drame, il entame une grève de la faim pour obtenir justice.