Un dernier bilan fait état d’au moins 213 morts dans l’attentat survenu à Bagdad, en Irak, dans la nuit de samedi à dimanche. Pour Nicolas Hénin, consultant jihadisme BFMTV, les récentes explosions de violence dans les pays où le groupe terroriste est présent ne sont pas surprenantes, Daesh compensant “la perte de contrôle territorial par une capacité de nuisance renforcée sur les centres urbains”. Le journaliste rappelle qu’il suffit en effet d’un seul individu “pour pouvoir commettre des attentats, y compris très meurtriers”.