Les membres du gouvernement font bloc face aux accusations d'une policière municipale. La responsable du centre de supervision de Nice reproche au cabinet du ministère de l'Intérieur de lui avoir fait subir des pressions pour modifier son rapport au lendemain de l'attentat. Face à cette dénonciation, le Premier ministre Manuel Valls et le ministre de l'Economie Emmanuel Macron soutiennent le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve. Quant à l'ancien maire de Nice, Christian Estrosi, il remet en cause les déclarations du gouvernement et les effectifs policiers mis en place le soir du 14-Juillet.