le président gabonais Ali Bongo a rejeté la responsabilité des violences sur des "groupuscules formés à la destruction".
Pris à partie par la communauté internationale et l'opposition, le président gabonais a affiché sa fermeté le 1er septembre 2016 lors d'une conférence de presse après les violences qui ont éclaté à la suite de l'annonce de sa réélection.
Ali Bongo a tenu responsable l'opposition des émeutes et de la mort de trois personnes. Le gouvernement a annoncé un millier d'interpellations.