Les services de l'état auraient dû anticiper ce qui arrive aujourd'hui à l'entreprise de transports. La décision de l'entreprise de fermer son site de Belfort n'a pas été prise de manière subite et l'état devait s'y préparer. Pour éviter que des situations similaires se reproduisent, l'État devrait se concentrer sur les services publics et abandonner ses participations dans des entreprises privées. C'est peut-être une réflexion à avoir pour la prochaine présidentielle. L'édito de Christophe Barbier.